The Unit - Saison 2

Voilà une bonne surprise découverte en Dvd !

The Unit continue son petit bonhomme de chemin intimiste dans mon salon avec une saison 2 vraiment supérieure à la première. Les arcs narratifs sont intelligemments installés sans pour autant nous faire comprendre que le fil rouge de la saison est là, sous nos yeux.

Dans cette saison, les hommes de l'unité vont aller plus loin que d'habitude dans des missions encore plus dangereuses. Si il n'y avait que le danger là, tout se passerait pratiquement sans encombre, mais voilà, l'unité à ses propres "ressources financières" quitte à piquer un peu partout pour se mettre de coté un joli petit pactole... jusqu'à ce qu'ils piquent quelque chose à la CIA.

Les acteurs tiennent vraiment bien leurs rôles sur mesure, Dennis Haysbert ( Palmer dans 24) est le chef de l'équipe par excellence, Scott Foley enchaîne le pas de son supérieur, Max Martini est le plus écorché de ces hommes d'action avec une femme qui ne lui facilite pas la vie, Michael Irby (Dante dans Haunted) est un personnage très peu mis en avant (et c'est bien dommage, car il remporte à mes yeux le meilleur épisode de la saison, "Le médaillon")...

Justement, parlons-en de cet épisode "Le médaillon", un épisode unique en son genre. Grey tombe sous le charme d'une jeune femme qui l'emmêne visiter des ruines de l'autre coté de la frontière "interdite". Là, nos deux tourtereaux vont être pris au piège quand des kamikazes vont venir se réfugier dans ce même lieu... Un épisode qui sort des sentiers battus, j'ai adoré.

Le final se révêle être un piège fatal pour nos hommes, et l'on a hâte de connaître la suite...

Il y a des guest-stars, et du lourd s'il vous plait rien qu'avec la pétillante mais non moins machaviélique Summer Glau (Terminator; les chroniques de Sarah Connor), Tia Texada (Cruz dans "New York 911"), William H. Macy ("Urgences"), Bai Ling (Dans la saison 1 de Angel, elle jouait une femelle qui protège les siennes et plusieurs rôles au cinéma)...

L'épisode "Une question de survie" est un must aussi dans son genre,  avec l'agent Brown qui essaie de sauver sa peau ainsi que celle de son interpête après s'être crashé en hélico, un épisode qui fait la part belle à Scott Foley...

Bref si vous ne savez pas quoi faire, venez faire un tour du coté de l'unité, vous n'y ressortirez pas indemnes !

The Shield - Saison 7

Avant de commencer cet article, petit récapitulatif de ce que propose le show "The Shield".

The Shield, c'est avant tout une histoire de flics ripoux et de leur chef, Vic Mackey. Vic qui utilise toutes les ficelles, tous les chantages pour se sortir de situations in-extremis, quitte à manipuler ses plus proches collaborateurs. Vic est le chef de la "brigade de chocs" qui s'occupe des gangs, de la drogue, de fausses monnaies. Se servant au passage... Le premier épisode nous ouvre ce monde brut de décoffrage quand à la fin de celui-ci, Vic se retourne vers un collègue flic et le tue !

En avant vers la dernière saison de ce qui va être le final apocalyptique le plus psychologique de ces dernières années en matière de séries policières...

Dans cette saison 7, rien ne va plus. Vic et Ronnie veulent descendre Shane, un des ex-brigade de chocs, quand ils découvrent que celui-ci est responsable de la mort de Lem, un autre de leur ami... Vic va savoir quelles seront les retombées de ces six dernières années à avoir joué avec le feu, à avoir trahi sans scrupules, à avoir manipulé tous ses proches. La fin est dure. Quand on y réfléchit, on a tellement sympathisé avec ces ripoux que ça nous fait mal au coeur. Mal au coeur de voir que tout ce qu'ils ont fait a juste servi à tous les détruire... un par un.

Cette série est un must et ne ressemble à aucune autre en terme de suspens, de montée d'adrénaline. On prie pour que Vic s'en sorte alors que l'on connait ses péchés. On voudrait tant que dans cette dernière saison, tout s'arrange entre Vic, Ronnie et Shane... Mais tout est irreversible dans la série... Le faux pas mène  à une guerre intestine qui se fait déchirer des ex-amis.

Vic va aller jusqu'au bout, jusqu'à l'ultime sacrifice et la série s'arrête nette. Ce n'est pas un adieu, ce n'est ni un au revoir, mais j'espère que The Shield pourra refaire un petit comeback, parce que Vic va me manquer... malgré tout ce qu'il est !

Merci à Shawn Ryan de m'avoir emporté dans cet univers que je n'oublierai jamais... et merci à Michael Chiklis d'avoir incarné un ripou qui m'a pris à la gorge directement...     

                                                                                                                                                                                        

                      

                      

Ugly Betty - Saison 2

    

Ahlalala, Ugly Betty saison 2, ça a donné quoi par rapport à une saison 1 complétement déjantée ?

Bah ça continues malgré une légère baisse d'effets comiques et déchainés. Disons que la mort du père de Daniel et Alex(is) tombe vraiment mal, car toute l'intrigue reposait beaucoup sur le père Meade. Willy est toujours aussi machaviélique, Marc toujours fouineur, Amanda toujours fofolle, Betty, toujours niaise.

Justement Betty qui ne sait pas qui choisir entre le bellâtre Henry qui se réveille que quand il se sent menacé par le gentil et toujours à l'écoute, Gio, le vendeur de Sandwich. Ca en devient agaçant à un point que l'on voudrait gifler Betty pendant au moins 40 minutes... Le début de saison est assez frileux, est la rediff' de TF1 des premiers épisodes, je les ai zappés parce que justement je me rappelle que je m'étais lourdement ennuyé.

Pas mal de guest-star dans cette saison, James Van Der Beek (Dawson), Eliza Dushku (Dollhouse), Victoria Beckham (ex-spice girls), Gabrielle Union (Models Inc), Eddie Cibrian (New York 911), bref tout était là pour en faire une aussi bonne saison que la première.

Le hic, c'est de rester coincé sur le même thême,  ce qui ne fait pas avancer la série d'un pouce. Marc a une romance de 6 épisodes et puis basta, on ne voit même plus son petit ami ! Ridicule ! Enfin, j'ai hâte quand même de voir cette saison 3, car malgré tout, l'univers d'Ugly Betty reste fidèle à lui même, des moments de folies, des moments d'émotion, des moments à vouloir jeter Betty d'une fenêtre... N'en jetez plus, la saison 2 est derrière moi...

    

Heroes - Saison 3 - Tome 4 : Les traîtres

Alors que le précédent tome de la saison m'avait franchement convaincu qu'il y avait de mauvaises langues sur Terre, ce deuxième volet me laisse pantois devant autant d'énergie foutue en l'air, pour rien, pour du vent !

12 épisodes où la série sombre dans ce qu'il y a de plus médiocre en série télévisée, c'est à dire : le grand n'importe quoi !

On commence le tome 4 par une chasse aux Heroes diriger par l'un d'entre eux : Nathan Pettreli, qui voit là une occasion de se faire une place au gouvernement. Si le sujet est attachant, le déroulement des épisodes est lui, sans conteste, navrant. On veut nous en mettre plein la vue avec peu de moyens (il faut reconnaitre que le budjet effets spéciaux a largement diminué depuis la saison 1), le parcours des Heroes, chacun de leur coté est désopillant, on nous enlève les meilleurs personnages pour nous garder les même à vie. Donc si t'es pas un Heroes de la première heure, bah tu crêves ! Ensuite, tout se mélange, même l'épisode "sauveur" réalisé par Bryan Fuller est nul à chier ! D'ailleurs, j'ai du m'endormir devant tellement il m'a lassé. Bref, une saison 4 que j'attends tout de même vu le titre "Redemption", mais il faudrait savoir si c'est la rédemption de la série ou des Heroes, car là, malheureusement, tout est à se faire pardonner.

Vous voyez, d'un coté comme d'un autre, je peux prendre la défense d'une série que j'aime, mais quand ça devient tellement pitoyable et que plus rien n'est à sauver, ça ne sert à rien de jouer les borgnes au royaume des aveugles... Vous serez très déçu par cette seconde partie de la troisième saison !

Le jeu de certains acteurs n'a pas bougé depuis la saison 1, seul Matt Parkman (interprété par l'excellent Greg Grunberg) tire son épingle du jeu et décuple son pouvoir de saison en saison, c'est pas le cas des autres mis à part Hayden qui décuple son coté boulet... et dire que c'est elle l'immortelle, on n'a pas de bol !

Fringe Review : 1x12 - Contrôle Parental / 1x13 - Métamorphose

1x12  Contrôle parental

Nous continuons notre petite avancée dans Fringe avec un épisode assez puissant coté effet spécial. Alors qu'un ado surfe sur le net, il reçoit un message "What's that Noise ?" (Quel est ce bruit ?), et clique sur le lien. Il est alors hypnotisait par toutes sortes d'images et une main virtuelle sort de l'écran... Le jeune homme est retrouvé mort le lendemain par ses parents. Ailleurs, un concessionnaire automobile trouve la mort dans les mêmes circonstances. Quel est le lien ? Quel est donc ce nouveau virus informatique qui devient plus dangereux qu'un virus virtuel ? Vous le saurez en regardant l'épisode ! ^^

Episode classique mais franchement que c'est bon de retrouver le trio chaque samedi, je ne pourrais certainement plus m'en passer ! Il manque un peu d'humour par contre sur cet épisode... Le chauve était debout sur un coin tandis qu'Olivia conduit pour sauver Ella. (La scène va très vite, faites chauffer votre touche pause du magnétoscope ^^ ).

1x13  Métamorphose

A bord d'un avion, un homme à l'allure normale commence à saigner du nez. Il se rend aux toilettes et se rend compte d'une chose. Il se précipite vers une hôtesse de la compagnie pour l'avertir qu'il faut qu'elle regroupe tous les tranquilisants se trouvant à bord de l'appareil et lui apporter dans les toilettes où il s'enfermera. Si la voix qui lui répond n'est pas la sienne, il faudra qu'elle laisse les toilettes fermées. Alors que l'homme va se cloturer dans les chiottes, son corps est pris de spasmes et il se transforme en espèce de monstre... L'avion s'écrase !

Un épisode assez puissant où j'aurais bien voulu un peu plus de métamorphoses, parce que outre le titre, on n'y voit pas grand chose (sauf la scène d'ouverture qui est vraiment pas mal). Olivia découvre que le corps de John Scott est toujours chez MD. Et hop, retour deux fois dans le même épisode dans le caisson... Elle l'aime son caisson, Y'a pas à dire ^^. Le chauve (gniark, gniark, gniark), se trouve au tout début de l'épisode, sur le terrain avant que l'avion ne se crashe. Je suis devenu expert en découverte du chauve au chapeau ! Vivement samedi prochain, je me rapproche du final et j'ai hâte d'y être !

 

Fringe Review : 1x10 - Passe-muraille / 1x11 - L'ennemi de l'intérieur

1x10 et 1x11 - Passe-muraille / L'ennemi de l'intérieur

Voilà deux épisodes (mais pourquoi dit-il deux épisodes ?) qui forment un tout. On commence par des hommes qui pénètrent dans une salle de coffres pour en voler un. Un coffre dont le chiffre ne sera pas étranger aux Bishop. Alors que le vol se déroule sans trop d'accrocs, un des voleurs va rester coincer dans le mur. Abattu par le traitre découvert dans l'épisode "Rencontre avec Mr Jones", il va rester sur place.

Je ne vais pas en trop dévoiler mais j'ai adoré ces deux épisodes qui ressemble très vaguement à du Alias. Complots, trahisons, secrets et énigme prophétique, nous nageons en plein remake de la série Abrahmienne (gloups) ! Ca peut déplaire mais quand ça fait avancer l'histoire comme ça, bah pour moi c'est pas déplaisant.

Les apparitions du chauve (il faut vraiment faire très attention en regardant beaucoup dans le fond de l'image et capté un chapeau, parce que pour le voir, parfois c'est assez flou !) Dans le premier épisode, on le voit sur le moniteur de sécurité de la banque. Quand au deuxième, un peu plus évident si on fait attention, il marche juste derrière Olivia à l'extérieur du laboratoire de Walter quand elle discute avec la fille (il s'arrête et remet son lacet en flou).

Encore 9 épisodes, comme le temps passe vite, aussi vite que ces deux épisodes !

 

Fringe Review : 1x08 - Sons et lumières / 1x09 - Vue de l'esprit

1x08  Sons et lumières

Alors qu'ils circulent sous une pluie battante, un homme et son fils s'arrêtent pour aider une jeune femme qui est tombée en panne sur le bas coté. Mais quand l'homme se décide à ouvrir le capot de la voiture pour y jeter un coup d'oeil, il est hypnotisait par des lumières venant du moteur. Quand il reprend conscience, son fils a disparu...

Pas de super scène gore pour ouvrir cet épisode (c'est bien plus tard que ça arrives), un épisode qui change des précédents dans l'optique où l'on croit perdre Walter pour de bon. L'épisode veut-il nous emmener vers une nouvelle piste ? A priori, oui, vu que tout le monde ne se fait pas avoir. Bref un épisode à assembler ? Le chauve, dans cet épisode, on le voit tandis qu'Olivia et Charlie cherchent le petit garçon. Peter fait allusion aux X-Men dans cet épisode, en faisant référence au héros Bishop qui porte le même nom de famille que lui.

 Olivia de Fringe , lol Bishop des X-Men

1x09  Vue de l'esprit

Olivia retourne dans le caisson pour en savoir plus sur la mort mystérieuse d'un employé de Massive Dynamic ! A ses risques et périls... La scène d'intro est formidablement mise en scène, c'est vraiment excellent, tout comme le reste de l'épisode, où chaque petit morceau vient s'emboiter dans la partie. Peter est contacté par une ancienne amie et va régler ses comptes. Mme Sharp est de retour et enfin Olivia lui sort ce que tout le monde pense : " c'est bizarre, chaque affaire me ramène vers vous", 9 épisodes pour s'en rendre compte, c'est fort quand même ^^ . Allez, traquons le chauve, on le voit dans le vestibule après la sortie de l'ascenseur.

Une bonne soirée sympathique comme d'habitude...vivement samedi prochain !

Dead Like Me - Saison 2

Ahlalala, quelle peine de terminer cette série comme cela (bien sûr en disant cela, je ne prends pas en compte le téléfilm qui suit la série !).

Une deuxième saison de Dead Like Me vraiment épatante, émouvante et hilarante. Une vraie bouffée d'oxygène au pays des faucheurs. George retourne travailler à Happy Time retrouvant ainsi Dolores, Crystal et toute la bande de joyeux drilles de la boite. Outre ces moments hilarants que composent la série (le regard de Crystal derrière le guichet d'accueil me fait exploser de rire, ainsi que son double masculin), la série joue dangereusement sur la corde sensible. En effet, à trop jongler entre les sentiments, on se perd un peu. On peut passer des rires aux larmes en moins de 30 secondes. Et c'est peut-être là que Dead Like Me frappe fort à celui qui ne s'y attend pas. En effet, si l'on prend la série comme étant diaboliquement drôle, elle regorge de petits moments tristounets. Et ça fonctionne !

Ensuite, il y a plusieurs mystères qui s'éclaircissent sur Ruben, sur les sépulcreux aussi. Mais attention, la saison ne se différencie pas tellement de la première et c'est fort agréable. La mort tragique de Joli Destin est émouvante. Il existe un faucheur spécial animaux et quoi de plus naturel de mettre un enfant faucheur (d'ailleurs le perso est trop mal exploité à mon goût).

La série prend fin dans un épisode qui jongle entre humour et tristesse, se déroulant pendant la fête d'Halloween. J'aurais tant aimé de vraies retrouvailles entre George et sa soeur. Mais bon le sort de la série n'était peut-être pas jeté à ce moment là. Donc la série se termine sur une porte ouverte...en espérant que le téléfilm nous amène quelques éléments de réponses.

Merci à Nakayomi, tout de même, qui m'a conseillé cette série alors que je cherchais quelque chose d'unique. Je pense qu'après Tru Calling et celle-ci, tu vois à peu près les goûts que j'ai aussi, si on enlève les blockbusters télés. Les séries intimistes comme celle-ci font du bien.

                      
              Dead Like Me

Heroes - Saison 3 (Episodes 1-13) - Tome 3 : Les traîtres

Tome 3 : Les traîtres

Après une deuxième saison très raccourcie, la nouvelle saison de Heroes est fixée à 25 épisodes découpée en deux parties : "Les traîtres" pour la première et "Les fugitifs" pour la deuxième. Je vais donc faire un point sur ce début de saison qui était promise à une relêve de niveau (je n'avais pourtant pas vu la baisse lors de la seconde, qui nous présentait de nouveaux personnages, mais bon).

L'action reprend au moment où un inconnu tire sur Nathan Petrelli et le blesse grièvement. Cet inconnu n'est autre que Peter, son frère, mais c'est celui du futur. Il vient ainsi empêcher Nathan de divulger l'existence des Heroes sur terre, sous peine qu'ils soient pourchassés et tués dans le futur. Claire de son coté se fait enfin avoir par Sylar, qui lui pique son pouvoir mais qui lui laisse la vie sauve. Parkman entame un voyage initiatique où il va faire la connaissance de Daphné, une Heroes pouvant se déplacer à la vitesse de la lumière. Mais celle-ci n'est pour le moment pas dans le bon camp. En effet, avec des ex-prisonniers de la Compagnie, elle travaille pour Mr Petrelli afin de ramener des Heroes à lui, pour qu'il leur vole leur pouvoir. Hiro et Ando font des tours de passe-passe afin d'essayer de récupérer une formule de son père que Daphné leur a volé. Quant à Nikki, elle n'est plus, une autre entité à pris sa place avec un pouvoir horrifique !.

Cette première partie est une véritable course contre la montre, mais surtout c'est une nouvelle ère qui s'ouvre. Nouveaux personnages, cotés gentils et cotés méchants. Sylar va connaître une véritable métamorphose avant de redevenir la face obscure que tout le monde connait dans un final très sanglant. Des ex-Heroes de la saison vont quitter le show tout simplement où être liquider de façon définitive. Bref, les Heroes de la première heure n'ont pas dit leur derniers mots. Tant mieux pour moi, qui était un enfant des comics, où je trépignais d'impatience tous les mois, à la sortie de Strange, Titans et autres revues "Super-Héros". Bien sûr, il y a des détracteurs de la série, mais ont-ils étaient bercés par les histoires racontées dans les comics ? J'en doute, car Heroes reprend bel et bien le concept des aventures de mes héros de papiers. Le méchant fini toujours par perdre à la fin, mais il ne meurt jamais. Les gentils peuvent mourir, mais un jour où l'autre, ils réapparaissent.

Les saisons de Heroes se ressemblent sur le schéma mais pas sur les histoires. Dans les comics, on pouvait assister à des histoires "Et si ?"... Eh bien Heroes reproduit à peu près ce schéma en utilisant des histoires parallèles qui rendent la série un peu plus complexe qu'elle n'y parait. Après, c'est une histoire de goûts, et que ceux qui n'aiment pas, ont juste à mettre un doigt sur une télécommande, et à laisser réver les fans d'histoires de super-héros...

 

Fringe Review : 1x06 - Effets secondaires / 1x07 - Rencontre avec Mr Jones

1x06  Effets secondaires

Une jeune fille est jetée en pleine rue comme un vulgaire carton par une estafette. Celle-ci va alors se réfugier dans un snack, où le serveur va remarquer que la jeune fille est très secouée. Cette dernière ne se souvient ni de son nom, ni d'où elle vient. Alors qu'un policier débarque sur les lieux pour l'emmener, celle-ci s'énerve et...tout le monde meurt. Pendant que Walter Bishop va essayer de comprendre, d'après l'état du corps, ce qui a bien pû arriver à la jeune femme, Olivia et Peter vont commencer une course contre la montre pour trouver une autre femme portée disparue, qui retenue dans un laboratoire, subit les mêmes expériences que la jeune fille.

Episode vraiment passionnant, l'alchimie continue de prendre entre les personnages, retour furtif de Nina qui passe un pacte avec Peter, mais à quelles fins ? La scène d'ouverture (comme toutes les scènes d'intro de Fringe) est réalisée magnifiquement avec cette scène gore que l'on attend impatiemment à chaque début d'épisode. Bon faudra que je me refasse les épisodes, car là pour le coup, soit j'étais fatigué, soit trop pris dans l'histoire, mais le chauve m'a échappé ^^

1x07  Rencontre avec Mr Jones

Un groupe d'intervention du FBI accoste un camion mais tombe sur une cargaison innatendue... Alors qu'il fait son rapport au boss, l'agent est pris de violents maux d'estomacs. Transporté à l'hôpital, les chirurgiens qui l'opèrent découvrent une sorte de monstro-plantes (Merci Jayce, conquérant de la lumière), accroché à son coeur. L'homme risque de mourir si Olivia ne va pas rencontrer Mr Jones (d'où le titre), afin que celui-ci pose une question à un certain Mr Smith. Mais ce dernier est abbatu lors d'une descente du FBI...

Cet épisode repose simplement sur le fait qu'il y a une deuxième taupe dans la section (décidément, le FBI, c'est plus ce que c'était)... Personne n'arrive à trouver bien sûr cette taupe et il n'y a que la fin de l'épisode qui nous permettra, à nous téléspectateurs, de le voir. Quoique moins con que je ne le pensais, j'ai trouvé bien avant (ça c'est la faute à Alias, avec tout ses faux-semblants ^^)

Bref deux bons épisodes qui font avancer un peu le petit mystère qui fait que Fringe est vraiment une série à part.

Générique de la série :