03 janvier 2010
Prison Break - Saison 4
Après Prison Break (Saison 1), Fugitive Break (Saison 2), Sona Break (Saison 3), voici Cartel Break qui vient clotûrer l'aventure de Scofield et de sa joyeuse troupe de gay-lurons en mal de gunfights et de problêmes en tout genre.
Tout commence pourtant si bien avec un monologue de Michael que le jour de la fin est arrivé... Perdu, car Gretchen, membre du cartel révèle à Michael que son frère Lincoln n'a pas vu la tête décapitée de Sarah dans une boite, mais juste une tête ( Mais quel boulet ce Lincoln quand même ^^). D'ailleurs, c'est ce boulet que Michael se traine depuis la saison 1, et non pas un boulet de prison... C'est son frère, enfin non pas son vrai frère comme on l'apprendra dans cette saison qui se veut être la vengeance de Scofield sur le cartel. Mais comme toute bonne saison de Prison Break, rien ne se termine sur les deux premiers épisodes, mais bel et bien à la fin de la saison ! Ah non, me dit-on, en effet, il faudra attendre le post sur Final break ^^ pour connaitre toute la vérité rien que la vérité !
Bref, une saison, qui selon certains était de trop, moi ça me convient, de toute façon, je suis toujours le même gars niais qui aime les trucs niais, les gros coups de bluffs, les incohérences totales dans une série, mais voilà, je ne change pas d'années en années, il n'y a que les années qui changent ^^
Alors la saison 4 suit le même chemin que la saison 3, à savoir que l'on veut faire durer la série pour en tirer une conclusion, mais on sait pas si on doit le faire (d'où le petit rajout sous forme de téléfilm qui explique quand même bien des choses... à suivre).
Alors, même si des situations sont assez énormes, que Burrows est toujours aussi boulet, que Rapaport est aussi crédible qu'une saucisse de francfort qui veut se faire passer pour une saucisse aux pommes de terre, voilà, la saison est une parfaite réussite. Réussir à mettre un terme à Prison break en inventant un peu tout et n'importe quoi, et là j'applaudis, car je ne me suis pas ennuyé, là où d'autres bloggeurs qui se reconnaitront à la lecture de cet article se sont profondément endormis dans les bras de... Scylla qui a été mentionné plus de 200 fois en 22 épisodes. (Au moins vous ne pouvez pas oublier le sujet de la saison ^^).
Allez encore un petit effort pour savoir qui va survivre, qui va mourir, qui va disculper nos deux faux frangins pour de bon !
Des guest, hum miam miam, il y en a toujours, avec Cress Williams qui comme Jodi Lyn O'Keefe, est de l'ex-série de Don Johnson, Nash Bridges. Même le petit vieux qui appelle les flics dans l'avant dernier épisode, sur les quais, incarnait "L'ange" dans Nash Bridges. (Tout comme l'acteur Jeff Perry (le frère de la présidente, saison 2), qui excélé dans la même série, à croire que le piston ça marche ^^). Ensuite nous avons Stacy Haiduk (Les feux de l'amour), qui incarne la fille du général Krantz (ça veut dire brioche chez nous, eh sers-moi un krantz guénéral ^_^). Il y a aussi la face de taupe qui joue dans 24, le retour de Muse Watson (NCIS, Prison break S1), et Michael Rapaport vient rejoindre la distribution dans le rôle de Saucisse-Man, dur à cuire ^^.
Content dans un sens que ce soit fini, même si je n'ai pas décroché, je voulais à tout prix voir la fin et je ne suis pas plus déçu que cela ^^ Car même dans le plus mauvais, la série s'en tire en deux épisodes comme Michael s'est tiré de Fox River : les deux doigts dans le nez et les six pieds sous terre ^^ Une scène qui m'a énormément touché... celui d'un héros qui finalement n'a pas eu ce qu'il méritait...
08:00 Écrit par Le Dav' dans Series-saisons | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : scofield, burrows, prison break, mahone, sucre | Facebook |
Commentaires
J'ai reconnu personne dans les guests perso... :D (Enfin, sauf dans les pièces rapportées du générique, et exception faites de Cress William, monsieur Terminator de la saison).
La saison aurait pu être meilleure si elle avait été moins longue (honnêtement, j'ai même légèrement apprécié les premiers épisodes... C'est dire !), mais quand ça finit comme ça, c'est peine perdue. L'épisode où il se taise est néanmoins intéressant. On s'aperçoit que sans dialogue, la série est bonne ! :D
Écrit par : Nakayomi | 03 janvier 2010
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