Glee - Saison 1

Vous avez le chant dans la peau mais vous en avez marre que M6 chante toujours la même chanson ? Abonnez-vous à Orange ! Alors que la saison 2 pointe son nez à partir du dimanche 06 mars sur Orange CinéHappy, je vous livre mon avis sur cette saison 1 très... légère !

 

Glee - Saison 1 - Cinéhappy - 22 épisodes

Synopsis :

Will Schuester, professeur, décide de reprendre le Glee Club laissé en piteux état par son prédécesseur. Il va devoir modérer la petite troupe et surtout canaliser la prof de gym, Sue Sylvester, prête à tout pour en finir avec ce maudit club de chant...

 

 

 

Mon avis :

C'est assez compliqué de critiquer Glee car en fait je ne sais pas ce que nous propose la série. Du chant, c'est certain, du drame, un peu, de l'humour, pas mal, mais une uniformité au long de la saison, sûrement pas. La première partie (Episodes 1 à 13), qui nous narre le début du club à leur première participation à un concours est vraiment très chouette. C'est léger, ça ne prend pas la tête, c'est bien mené et surtout bien construit. Les personnages sont attachants, les reprises chorales sont plus qu'excellentes sur certains titres et l'on s'amuse avec la petite bande. Mais voilà, que s'est-il passé après l'épisode 14 ? Tout part en vrille, on a l'impression de ne plus assister à la même série. Mis à part l'épisode "Special Madonna" et un autre avec "Olivia Newton-John", il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Heureusement, le final se sauve de la planitude dans laquelle s'était embourbée la série. J'ai failli lacher, croyez-moi. Mais dur comme fer qu'il m'en faut plus que 7 épisodes loupés, grosso-modo. L'épisode le plus terriblement ennuyeux et loupé de cette seconde partie est sans aucun doute "Le misérable" réalisé par l'ex-Dieu tout puissant "Joss Whedon". Oui, il a fait du bon boulot sur "Buffy" et "Angel", sûrement sur "Firefly" que je n'ai jamais vu et je ne dirais rien sur Dollhouse (ahem). Mais qu'est-il venu faire ici ? Franchement ? L'épisode était naze de chez naze, donc oui, il portait bien son titre en français, misérable. Seul atout, les tours de voix de l'acteur invité et de Will Schuester. Même la chorégraphie d'Artie dans le hall où il se lêve de son fauteuil roulant pour danser était d'un pathétique navrant ! J'avais l'impression de regarder une pub du vendeur de lunettes où tout le monde fait sa superbe danse dans le hall de gare !

Dans l'ensemble, c'est une saison, allez, une saison assez plaisante mais avec quelques retenues sur la deuxième partie. Je serais quand même devant mon écran pour la saison 2, en espérant pouvoir rêver à nouveau comme au début de cette série.

 

Le Cast :

Matthew Morrison - Will Schuester. A participé à plusieurs séries. Connu aussi par le cinéma et le théatre.

Jayma Mays - Emma Pillsbury.

Jessalyn Gilsig - Terri Schuester. Vue dans "Heroes"

Chris Colfer - Kurt. A joué en 2009 dans le film "Russel Fish: The Sausage and Eggs Incident"

Amber Riley - Mercedes. A participé à "American Idol".

Kevin McHale - Arty.

Jenna Ushkowitz - Tina.

Lea Michele - Rachel. L'actrice nous vient du music-hall.

Cory Monteith - Finn. Vu dans "Kyle XY"

Jane Lynch - Sue Sylvester. A débutée sa carrière en 1988 dans le film "Taxi Killer et depuis n'arrête pas de tourner, autant pour le cinéma que pour la télé...

Dianna Agron - Quinn. Vue dans la saison 3 de "Veronica Mars"

Mark Salling - Puck.

Heather Morris : Britanny.

 

Les guests :

Eve : Grace Hitchens (saison 1, épisodes 11 et 13)

Josh Groban : lui-même (saison 1, épisodes 3 et 22)

Kristin Chenoweth : April Rhodes (saison 1, épisodes 5 et 16)

Idina Menzel : Shelby Corcoran (saison 1, épisodes 14, 19, 20, 21 et 22)

Olivia Newton-John : elle-même (saison 1, épisodes 17 et 22)

Neil Patrick Harris : Bryan Ryan (saison 1, épisode 19)

 

 

Nick Sata - The final countdown (Infinity Karaoké Noelukah)

Ladies & Gentlemen, apllaudissez Nick Sata et sa guitare démoniaque pour un show exclusif ! XD

The final Countdown de "Europe" en version chantée par votre serviteur sur un clip totalement déjanté, c'est parti

      
    Nick Sata, the final countdown